No-Body Is Wrong

NO-BODY IS WRONG est une jeune association belge qui se consacre aujourd’hui aux enjeux rencontrés par les victimes/survivantes de violences intimes, ainsi qu’ à la déconstruction de tabous liés à la maternité, au deuil périnatal et au post partum.

Sensibiliser la société sur la nécessité de créer des espaces d’expression qui valorisent les corps dans leur diversité, prenant ainsi le contrepied d’une société de l’image (qui préfère taire cette pluralité) lui parait primordial dans sa pratique. No-Body is Wrong est ainsi née de ce désir d’accompagner l’apprentissage d’un autre regard, d’une autre manière d’approcher notre propre corps et celui des autres.

A travers notre travail nous désirons investiguer, questionner et refonder certaines pratiques et habitudes pour une prise en charge respectueuse et non-violente des femmes et cela en mettant en avant la communication, l’écoute et le consentement éclairé auprès de ces dernières.

Nos activités

NO-BODY IS WRONG accompagne les corps politique dans leur délicat processus de transition et reconstruction: Par corps politique on entend ainsi tous les corps qui sont dépossédés de leur vécu, qui n’ont pas leur place dans la société à cause de ce que leur propre corps raconte d’eux-même et qui canalisent les injonctions et les contradictions de cette société.

Comment ces violences s’inscrivent dans les corps ? Comment guider ces derniers dans le processus de la réappropriation ? Comment accompagner au mieux les différentes transitions ?

Notre éthique

Dans une dynamique de déconstruction des rapports sociaux entre les sexes, il semble primordial pour No-Body is Wrong de travailler avec toutes les personnes en désaccord avec les idéaux de représentation du corps dans l’espace public. C’est en cela que l’association s’inscrit dans un projet de “genre” et non uniquement un projet de “femmes”.

Nos axes de travail sont : processus d’empowerment individuel et collectifs dans un cadre sécurisant, professionnel et de confiance. Faire de la lutte contre les violences de genre une priorité partagée.